27 novembre 2005

Pro-allaitement mais pas encore pro de l'allaitement mais ça viendra!


Voici les dernières recommandations de l'OMS concernant l'allaitement:

L'allaitement c'est l'alimentation idéale pour l'enfant avec des
implications importantes pour la santé des femmes.

Le dernier bilan scientifique démontre que l'allaitement exclusif pendant 6
mois est optimal et qu'on doit poursuivre l'allaitement tout en diversifiant
jusqu'à l'age de 2 ans et plus!

Pour aider les mamans à réussir un allaitement exclusif de 6 mois ils
conseillent:
-la mise au sein pendant la 1ère heure de vie
-pas de complément solides ni liquides, mm pas d'eau
-allaiter à la demande c.a.d. dés que l'enfant le reclame(jour et nuit)
-ne pas utiliser de biberons, ni de tétines

Le lait maternel réponds à 100% des besoins d'un enfant pendant ces premiers
mois de vie, 50% à 1 ans et à 33% des nutriments dont l'enfant a
besoin à 2
ans.

L'allaitement aide le developpement sensoriel et cognitif et protège
l'enfant contre des maladies infectieuses et chroniques. L'allaitement
exclusif réduit la mortalité infantile lié a la diarhée, pneumonie et aide a
récuperer en cas de maladies.

L'allaitement maternel contribue à la santé et bien-être des mères, aide a
espacer les enfants, reduit les risques de cancer des ovaires et du sein,
preserve le pouvoir d'achat des familles. C'est une allimentation sure,
adapté et propre pour l'environnement.

PREMIERE CARESSE


Première Caresse

J'étais dans le cosmos.
Moi, qui flottait dans une bulle d'eau saline,
J'étais un cosmonaute aquatique,
Moi qui me suis développé, tranquille, dans la chaleur humide de
ton ventre, bercé par la houle et les caresses de la mer intérieure,
J'étais bien, uni à toi, nourri de toi, confondu en toi...

Le jour venu, la Vie m'a poussé.
J'ai été pris dans le puissant massage, dans le passage, dans la forte
caresse de la voie étroite.
Je suis né.
Me voilà dehors. Enfant né. Nouveau né.
A déplier mes poumons dans le premier cri, saisi par le froid et l'air sec.

Moi qui n'était que blotti, voilà que mes bras, jambes, membres se
sont déployés, libérés dans le vide de l'air léger.
Voilà que j'étais perdu dans l'immensité du monde du dehors,
Abandonné au poids de moi-même,
Contraint à me porter moi-même,
mon propre corps,
comme un vêtement neuf dont on ne connaît pas les poches.

Je cherche ton sein, la chaleur du lait, l'odeur connue.
Je cherche ton ventre, la musique d'eau de ton ventre.

JE NE PEUX RIEN SANS TOI.

Donne-moi tes mains sur ma tête encore ouverte,
Tes mains nuages sur mon visage, que j'aprenne ce que sont :
bouche, nez, yeux, oreilles...

REVEILLE CE QUE JE SUIS.

Donne-moi tes mains sur mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes,
sur mon ventre, sur mes bras et mes épaules, sur mes genoux et mes
pieds, mes mains aussi et mes coudes,

DONNE-MOI TES MAINS QUI ME NOMMENT CHAQUE
PARTIE DE CE QUE JE SUIS.

C'est chaud, c'est doux,
Tu me dis où tu es, où je suis,
Que tu es, toi, là, différent à toucher, avec ta peau, à toi, qui touche
la mienne, ma peau-enveloppe, ma bulle ouverte.

Donne-moi tes bras, fais un berceau de tes bras, que je retrouve le
goût de la houle perdue
Et que je prenne la force, ta force pour grandir.

POUR DEVENIR CE QUE JE SUIS.

Donne-moi ton visage sur mon ventre,
que j'attrappe tes cheveux
et fais-moi des chatouilles, des gratouilles, des papouilles,

QUE J'éCLATE DE RIRE !
QUE J'éCLATE DE VIE !

SABINE D'HALLUIN

Les gros cailloux



Les gros cailloux de la vie !

Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration
publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur La
planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de
dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours
constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le
vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que
l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un,
lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4
litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit
environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de
tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot.
Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y
ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves

et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein?".

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient

rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros
cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier
s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda
: "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves
commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".

"Bien!" répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une
chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le
sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
répondirent :

"Non!".

"Bien!" répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet
d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le
vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle
grande vérité nous démontre cette expérience? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours,
répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda
est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter
plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que
nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les
gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire
entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant
conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans
votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX
en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si
on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira
sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux
à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire
et lentement quitta la salle.

Auteur inconnu

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